La jeune réalisatrice Aïssata Ouarma aborde de manière originale et poignante le phénomène de l'exode des filles mineures à Ouagadougou. Elle donne de la voix au silence de ces filles victimes de leur quête de bien-être. Entre espérance légitime et impatience craintive de leur parents restés dans le petit village de Loroni, la réalisatrice nous plonge dans la quotidienneté de ses filles.

A Kasso, au sud du Burkina Faso, la commerce de terres est à la mode. Des agrobusinessmen achètent des dizaines d'hectares de terres cultivables. Chose qui inquiète les migrants agricoles, qui se sont installés dans cette zone depuis des générations, pour cultiver des terres qui ne les appartiennent pas. Ces migrants risquent de se voir retirer leur champs par les populations autochtones, qui sont les propriétaires terriens. Certains producteurs ont déjà vu leurs champs vendus sans préavis aux agrobusinessmen. Un exemple poignant qui illustre que la problématique foncière est d'un enjeu crucial pour la paix et la cohésion social au

"Ma vie, mes droits" est un magazine axé sur les droits humains. Sous forme d'un plateau télé de 26 minutes présenté par Bakary Ouattara, "Ma Vie, mes droits" combine à la fois plusieurs reportages, un micro trottoir, des réactions des internautes et une discussion avec un invité. Chaque épisode traite un sujet spécifique lié aux droits humains. L'objectif est de sensibiliser les populations sur leurs droits et devoirs dans la société. Episode: Le droit au travail Invité: Issa Tiendrebeogo, président du mois / Centrale Syndicale Durée: 26 minutes

"Ma vie, mes droits" est un magazine axé sur les droits humains. Sous forme d'un plateau télé de 26 minutes présenté par Bakary Ouattara, "Ma Vie, mes droits" combine à la fois plusieurs reportages, un micro trottoir, des réactions des internautes et une discussion avec un invité. Chaque épisode traite un sujet spécifique lié aux droits humains. L'objectif est de sensibiliser les populations sur leurs droits et devoirs dans la société. Episode: Le droit au Logement Invité: Seydou Traoré, président de l'association Droit au Logement Durée: 26 minutes

Lorsqu'en 2002, ils s'engageaient aux côtés des responsables de la rébellion, ils étaient loin d'imaginer qu'une fois la lutte terminée, ils seraient oubliés par leurs anciens compagnons aujourd'hui au pouvoir. Au delà de ces frustrations individuelles, c'est la ville de Bouaké de façon générale qui affiche un visage de ville abandonné... Un reportage exclusif du correspondant de Droit libre TV en Côte d'ivoire.

Le passage d'une année à une autre est toujours l'occasion de réjouissance et de retrouvailles entre amis ou en famille. Tel n'est cependant pas le cas pour Boureima Nana qui depuis 5 ans dort à la belle étoile. L'équipe de Droit Libre TV a passé le dernier jour de 2012 avec lui, loin des pétards et feux d'artifice.

Ce 13 décembre 2012, comme un rituel, les burkinabé ont commémoré l'assassinat du journaliste Norbert Zongo. Depuis sa mort tragique il y a 14 ans, le peuple réclame que justice soit rendue à Zongo et ses 3 compagnons d'infortune. Au programme de la commémoration à Ouagadougou: le recueillement sur les tombes de Norbert Zongo et ses compagnons, un meeting à la Bourse de Travail, un conférence débat, la remise des "Bourses d'Etudes Norbert Zongo", et une soirée artistique avec musique, graffiti, poésie et débats. Partout ailleurs au Burkina, les gens sont sortis pour marcher et réclamer que justice soit rendue

Le 20 décembre 2012, 14 ans après la mort du journaliste d'investigation Norbert Zongo, une plaque vient indiquer où le drame s'est produit. La pose de la plaque a été effectué en présence de la famille Zongo, les "Artistes unis pour Norbert Zongo", les femmes en Noir, la presse nationale et de nombreux organisations de la société civile.

Dans cet entretien exclusif avec Droit Libre TV, l'artiste Salif Keita parle de sa carrière musicale, son engagement pour les albinos du Mali et donne également son avis sur la crise malienne.

Frontalier de plusieurs pays en crise, le Burkina Faso est par excellence un rempart pour les rebelles et les réfugiés. Cette situation devient de plus en plus inconfortable aussi bien pour les Burkinabè que pour les voisins du Burkina qui l'accusent d'abriter des criminels. Amnesty International vient de publier un rapport qui met en exergue les failles de la législation burkinabè susceptibles de protéger des criminels réfugiés au Burkina Faso.