1Burkina Faso root 1 août 2019

Maire de Fada : « Ayons une attitude de paix et cultivons le vivre-ensemble »

L’insécurité de ces dernières années à l’Est du Burkina a porté un coup dur au vivre-ensemble. Des voix se lèvent pour appeler à la tolérance et au pardon. Ainsi, les religieux, les coutumiers, les artistes … sont mobilisés pour promouvoir la paix, la cohésion sociale, l’amour entre les populations. De la Kompienga en passant par la Tapoa, la Komandjari, la Gnagna, etc., les populations sont invitées à cultiver l’amour, la paix, la tolérance et à promouvoir le vivre-ensemble. Dans ce message le maire de Fada, Jean-Claude Louani à cœur ouvert, exhorte la population à « cultiver le vivre-ensemble ».

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1Burkina Faso root 1 août 2019

Joey le Soldat : S’unir pour vaincre l’extrémisme violent

L’insécurité de ces dernières années à l’Est du Burkina a porté un coup dur au vivre-ensemble. Des voix se lèvent pour appeler à la tolérance et au pardon. Ainsi, les religieux, les coutumiers, les artistes … sont mobilisés pour promouvoir la paix, la cohésion sociale, l’amour entre les populations. De la Kompienga en passant par la Tapoa, la Komandjari, la Gnagna, etc., les populations sont invitées à cultiver l’amour, la paix, la tolérance et à promouvoir le vivre-ensemble. Seule l’unité nationale permettra, selon le rappeur Joey le Soldat, de bouter le mal qui met à rude épreuve la cohésion sociale

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1Burkina Faso root 1 août 2019

Insécurité : le cri de détresse des déplacés internes à Barsalogho

Ils ont fui pour sauver leur vie. Sans aide, ils ne pourront pas survivre. Au Burkina Faso, l’insécurité a occasionné plus de 250.000 déplacés internes. Dans la seule commune de Barsalogho, ils sont plus de 35.000 et le nombre s’accroit de jour en jour. Des dizaines de villages sont désormais vides. Pendant notre séjour à Kaya, Barsalogho et environnants, une autre attaque est survenue dans la nuit du jeudi 25 au vendredi 26 juillet et a fait 15 morts selon un communiqué du gouverneur de la région du Centre Nord. Des villages se sont encore vidés. Les déplacés internes sont

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1Burkina Faso root 1 août 2019

Barsalogho : Lui seul accueille plus de 400 déplacés dans sa famille

Dans cette atmosphère marquée par l’afflux massif de déplacés internes à Barsalogho, des populations s’illustrent par leurs sens de l’hospitalité et de la solidarité. Au nombre de ces personnes au grand cœur, qui accueillent gracieusement des déplacés internes, figure le vieux Issaka OUEDRAOGO. Il accueille dans sa famille plus de 400 personnes qui ont fui après l’attaque terroriste de plusieurs villages dans la commune de Dablo le 21 juillet 2019. A Barsalogho, plus de 35.000 déplacés internes sont à la recherche de secours et de réconfort. Ils manquent de tout et appellent les autorités compétentes et les populations à leur

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3Sénégal root 31 juillet 2019

L’insécurité sert de « prétexte pour liquider les opposants » (Alioune Tine)

Dans de nombreux pays africains en proie à la menace terroriste, la lutte contre l’insécurité sert de « prétexte » aux gouvernements « pour liquider les voix dissidentes », analyse Alioune Tine, doyen de la société civile africaine et expert international des Nations Unies sur les Droits de l’Homme au Mali, dans cet entretien accordé à Droit Libre TV, en marge du 2e sommet Africtivistes sur la démocratie numérique en Afrique…

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1Burkina Faso root 31 juillet 2019

Aboubacar Kina, grand imam de Fada : « Enseignons le bien et rejetons le mal »

L’insécurité de ces dernières années à l’Est du Burkina a porté un coup dur au vivre-ensemble. Des voix se lèvent pour appeler à la tolérance et au pardon. Ainsi, les religieux, les coutumiers, les artistes … sont mobilisés pour promouvoir la paix, la cohésion sociale, l’amour entre les populations. De la Kompienga en passant par la Tapoa, la Komandjari, la Gnagna, etc., les populations sont invitées à cultiver l’amour, la paix, la tolérance et à promouvoir le vivre-ensemble. Le grand imam, Aboubacar Kina, dans ce message, appelle la population à se démarquer du mal.

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1Burkina Faso root 31 juillet 2019

Hommage des slameurs maliens à « Valian le vaillant » – Droit Libre TV

Arraché à notre affection le lundi 30 avril 2018, Hamidou Valian, slameur burkinabè et membre de la coordination nationale du mouvement le Balai Citoyen, a laissé derrière lui une famille, des amis et camarades inconsolables à travers l’Afrique et le monde. Au Mali, le slam de Valian était apprécié. L’association Jeuness’Art, a, à travers la journée internationale du slam, rendu un vibrant hommage au slameur et activiste burkinabè parti très tôt.

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1Pays root 31 juillet 2019

Amadou Boukariou Baldé, chronique d’une mort annoncée

Vendredi après-midi, 7 juin, j’ai pris place aux côtés des journalistes à la Maison de la presse de Guinée dans une salle comble. En face, derrière un mur d’enregistreurs, de micros et de caméras, Mamadou Mouctar Baldé, le père d’Amadou Boukariou Baldé, entouré de plusieurs proches. Au fond de la salle, quelques femmes membres de la famille sont assises en silence, le regard triste et fuyant, les yeux embués. Ils sont tous là pour parler de leurs fils au passé, un terrible butin entre les mains : le rapport du médecin légiste qui a autopsié le corps d’Amadou. Cause du décès

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1Pays root 30 juillet 2019

Projections de Semfilms lors du FESPACO

L’association Semfilms présente quelques de ses productions et co- productions cinématographiques lors de la 26me édition du Fespaco. Venez suivre en compétition officielle et en sélection panorama, nos films phares ! Bon festival !

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1Pays root 30 juillet 2019

“Dawa, l’appel à Dieu”, un film de propagande djihadiste ? Les (…)

Nous sommes obligés de réagir publiquement aux propos de Nadia El Fani, présidente du jury documentaire du Fespaco 2019, qui qualifie notre production « Dawa, l’appel à Dieu » un « film de propagande insidieuse et dangereuse ». Propos qu’elle a voulu relayer à la cérémonie de clôture du festival, qui se trouvent désormais sur les réseaux sociaux. Avec tout le respect qu’on doit pour Nadia et son combat de cinéaste et documentariste à succès, en reconnaissant le prix qu’elle a payé pour ses prises de position courageuses après son film « Laïcité Inch’allah », nous qualifierons ces propos et sa lecture du film erronés. Revenons

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