Dans toute tyrannie, dans toute dictature, c’est le cerveau qui souffre
« … Dans tout esclavage, dans toute tyrannie, dans toute dictature, c’est le cerveau qui souffre. Et c’est par le cerveau que l’on se libère. La vraie libération passe par là et nulle part ailleurs. Parce que c’est la conscience qui porte les chaines. Cette réalité́, nous devons l’avoir à l’esprit constamment, en dehors de tout intellectualisme… »
L’Indépendant n°148 du 4 juin 1996.