Binta DIARRA fait partie des pionnières de l’équipe féminine de l’AS Réal de Bamako. Milieu de terrain, grâce à son courage et à son amour pour le football, elle a joué dans toutes les catégories de son club formateur. Aujourd’hui footballeuse professionnelle et plusieurs fois sélectionnée en équipe nationale, Binta est également coiffeuse et vendeuses de produits de beauté. Comme tout début, les débuts de Binta n’ont pas du tout été faciles dans le football. De vendeuse d’eau glacée au stade, elle a appris à aimer cette discipline et à faire face à l’adversité et aux critiques de la société,

A travers ce communiqué ci-dessus, la Maison de la presse du Mali réitère son soutien et sa solidarité journaliste Malick Konaté, par ailleurs président de l’Association des blogueurs du Mali, qui fait l’objet des menaces et d'intimidation. La Maison de la presse, inquiète de la montée en flèche de l’intimidation, de la menace et de l’agression dont certains s’arrogent le droit au Mali au mépris de l’Etat de droit et de la dignité humaine, met en garde les auteurs de ces pratiques contre tout attentat contre des journalistes et bloggeurs. La Maison de la presse exprime sa solidarité agissante à

Benjamin et Colette sont en couple depuis plus de 10 ans. Leur particularité, c’est qu’ils sont tous les deux sourds muets et ont également eu des enfants atteints de surdité. Malgré cet handicap et face aux difficultés, le couple vie heureux dans un quartier paisible de Bamako, la capitale malienne. Benjamin et Colette s’aiment, se débrouillent bien dans la vie et s’occupent également bien de l’éducation de leurs enfants. Ils sont un exemple de combativité pour leur entourage, malgré le fait qu’ils sont souvent victimes de stigmatisation. Droit Libre TV a rencontré les deux jeunes tourtereaux pour vous et vous

Ils sont visibles dès l’entrée au Haut-Commissariat pour les Réfugiés (HCR) à Ouagadougou. Ce sont des réfugiés qui revendiquent de meilleures conditions de vie. Ils se sont installés là, sous les tentes depuis plus une année, sous les regards des responsables du HCR qui entrent et ressortent de leurs locaux. Ces réfugiés grévistes ne partagent pas le même avis que le HCR. Néanmoins, leurs cris de cœur à l’endroit de ce dernier et surtout des autorités du pays est de mettre fin à leur souffrance. Reportage

Dans sa mission de décentraliser ses activités, le festival Ciné Droit Libre (CDL) a installé depuis plusieurs années des clubs. 9 Clubs existent déjà dans différentes villes du Burkina. Celui de Tenkendogo, le 10e, vient de voir le jour en 2020. Le Coordonnateur du Festival, Abdoulaye Diallo et son équipe ont effectué le déplacement de Tenkendogo pour l’installation du club de cette ville. Ce club est piloté par un bureau composé de 6 membres, tous déterminés à relever le défi. Retour en images sur l’installation du club CDL de Tenkodogo.

C’est sur plainte pour diffamation de Sani Mahamadou Issoufou, fils du président nigérien que la journaliste Samira Sabou a été arrêtée et mise sous mandat de dépôt à la prison civile de Niamey le 10 juin 2020. Dans une publication en date du 26 mai 2020 sur facebook, Samira Sabou faisait une connexion entre une des personnes impliquées dans l’achat d’arme au ministère nigérien de la Défense et « le fils du parton », sans nommé Sani Mahamadou Issoufou. La détention de la journaliste relance ainsi le débat sur la liberté de presse au Niger. Premier pays à signer la

Bouba et Hassana, frère et sœur, ont fui l'insécurité dans leur village, avec leurs parents, pour se retrouver à Ouagadougou. Ils racontent leur histoire par l'entremise de leur cousine qui sert d'interprète. La fillette, déscolarisée, est reconvertie au ménage, tandis que son frère poursuit l'école coranique. Bouba et Hassana rêvent de paix, leur village et leurs amis leur manquent. Droit Libre TV les a rencontré pour vous et vous livre ce reportage exclusif. *L'identité des intervenants a été changée ................................................................................... Ce reportage est réalisé par Aristide OUANGRE avec le soutien de UNICEF.

Le 13 juin de chaque année est célébrée la Journée Internationale de Sensibilisation à l’Albinisme. Au Burkina Faso, cette journée est célébrée sur le thème « Résilience des personnes Albinos dans un contexte de récurrence du cancer de la peau au Burkina Faso : comment intensifier la sensibilisation et la mobilisation communautaire ? » C’est autour d’une conférence publique tenue à Ouagadougou, le samedi 13 juin 2020, que l’Association des Femmes Albinos du Burkina (AFAB) a convié les partenaires sociaux pour discuter de la question. Au Burkina Faso, la semaine de l’Albinos ou « AlbiWeek » est désormais instituée et