Burkina : Marc, de drogué à moniteur d’auto-école
Au Burkina Faso, ces dernières années, la consommation de la drogue a pris des proportions inquiétantes. Le milieu scolaire est même envahit par le phénomène. Pendant que certains jeunes s’enfoncent d’avantage et même y trépassent, d’autres avec le soutien de leurs familles ou des associations œuvrant dans la lutte contre la consommation de la drogue sont sauvés. C’est le cas de Marc, 20 ans, ancien élève en classe de troisième dans un lycée privé de Ouagadougou. Ayant commencé à consommer la drogue dès la classe de 5ème en 2014, il est aujourd’hui déscolarisé, mais débarrassé de la drogue grâce au
Lire la suiteBurkina : Le combat des personnes albinos
L'albinisme est une maladie génétique caractérisée par un défaut de production de mélanine. Il touche en Afrique 1 enfant sur 4000. Au Burkina Faso, l'intégration des personnes albinos se poursuit lentement. Les difficultés à l’enfance, la stigmatisation, l’insertion professionnelle, la santé fragile, etc. sont autant de situations que vivent les personnes atteintes d’albinisme. Pour mieux comprendre le combat que mènent les personnes albinos pour une meilleure intégration dans la société, nous sommes allés à la rencontre de Adama Guéné, étudiant, Infirmier diplômé d’Etat et membre de l’Association Burkinabè pour l’Intégration des Personnes Albinos (ABIPA). REPORTAGE.
Lire la suiteSmockey : « Nous n’avons pas besoin de sang ni de massacres au Burkina Faso »
L’insécurité de ces dernières années à l’Est du Burkina a porté un coup dur au vivre-ensemble. Des voix se lèvent pour appeler à la tolérance et au pardon. Ainsi, les religieux, les coutumiers, les artistes … sont mobilisés pour promouvoir la paix, la cohésion sociale, l’amour entre les populations. De la Kompienga en passant par la Tapoa, la Komandjari, la Gnagna, etc., les populations sont invitées à cultiver l’amour, la paix, la tolérance et à promouvoir le vivre-ensemble. Dans cet élément, Smockey s’adresse à la jeunesse. Voici son message.
Lire la suiteBurkina Faso : la FIJ appelle au retrait de la réforme du Code pénal
L’Assemblée nationale du Burkina Faso a adopté le 21 juin une réforme du Code pénal qui prévoit jusqu’à dix années de prison pour la diffusion d’informations relatives aux opérations militaires. La Fédération internationale des journalistes (FIJ) et l’Association des journalistes du Burkina (AJB) appellent à l’abandon de cette loi qui constitue une violation caractérisée de la liberté de la presse. La réforme est présentée par le gouvernement comme un moyen de renforcer la lutte contre les groupes terroristes, notamment l’organisation Etat islamique et le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans, dont les attaques se font de plus en
Lire la suiteTogo : l’érosion côtière fait des ravages à Lomé
C’est un triste paysage devenu banal. A Baguida, ville située en banlieue de la capitale Lomé, l’érosion côtière fait des ravages. Chaque année, 10 m de côte en moyenne disparaissent, rongés par la mer. Selon les experts, le chiffre est en constante augmentation. Il ne reste aujourd’hui presque plus rien de la maison de Kodjo, en ruines. Les derniers murs menacent de s’effondrer à tout moment. Depuis 3 mois, l’homme assiste, impuissant, à la disparition progressive de sa maison. Comme lui, ils sont nombreux à être victimes de l'érosion côtière, accélérée par la construction de deux aménagements portuaires en 2011
Lire la suiteAboubacar Kina, grand imam de Fada : « Enseignons le bien et rejetons le mal »
L’insécurité de ces dernières années à l’Est du Burkina a porté un coup dur au vivre-ensemble. Des voix se lèvent pour appeler à la tolérance et au pardon. Ainsi, les religieux, les coutumiers, les artistes … sont mobilisés pour promouvoir la paix, la cohésion sociale, l’amour entre les populations. De la Kompienga en passant par la Tapoa, la Komandjari, la Gnagna, etc., les populations sont invitées à cultiver l’amour, la paix, la tolérance et à promouvoir le vivre-ensemble. Le grand imam, Aboubacar Kina, dans ce message, appelle la population à se démarquer du mal.
Lire la suiteBurkina Faso : Le nouveau code pénal pourrait conduire jusqu’à dix ans de prison pour diffusion d’information sur les opérations militaires
Le projet de loi portant modification du code pénal contient des dispositions qui restreignent les libertés publiques en particulier les libertés d’expression et de presse et le droit à l’information au Burkina Faso, ont déclaré aujourd’hui Amnesty International, le Centre d’information et de formation en matière de droits humains en Afrique (CIFDHA), le Centre pour la qualité du droit et la justice (CQDJ) et l’Association des bloggeurs du Burkina (ABB). Alors que le parlement examine demain le projet de loi, les organisations relèvent le risque de criminalisation de l’activité des défenseurs des droits humains, des journalistes, des acteurs des réseaux
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