Une visite sur des sites d’accueil des personnes déplacées internes à Kaya, révèle la situation amère dans laquelle elles se trouvent, aussi bien sur les sites formels que sur les sites informels. Pas assez d’eau, ni de toilettes dignes de ce nom. Cette situation est pire pour les femmes en période de menstrues. Une phase mensuelle pendant laquelle, elles ont besoin de d’eau, d’hygiène, et d’intimité. Mais ces besoins semblent être un luxe, quand on est dans la peau d’un déplacé. Il s’avère nécessaire d’assainir ces sites avec des toilettes adéquates, tout en prenant en compte les besoins spécifiques de

Ceci est un communiqué du Procureur du Faso près le Tribunal de Grande Instance de Ouagadougou, relatif à une vidéo diffusée par une des chaines de Canal+ faisant le récit d’une fillette de quatorze (14) ans, de nationalité burkinabè, qui aurait été abusée par son propre père. Le mercredi 22 juillet 2020, sur le réseau social « Facebook » une vidéo déjà diffusée par une des chaines de Canal+ faisait le récit d’une fillette de quatorze (14) ans, de nationalité burkinabè, qui aurait été abusée par son propre père. Répudiée par sa famille pour les faits d’inceste, elle a été

« Un pagne pour leur dignité », est une initiative de collecte de pagnes pour la gestion des menstrues des femmes déplacées internes. En trois semaines d’opération, plus de 1000 pagnes, des vivres et du savon ont pu être collectés au profit d’environ 800 femmes sur des sites d’accueil formels, dans des zones non loties et dans quelques familles dans la ville de Kaya. La sortie de distribution de cette collecte le 08 août 2020, a aussi servi de plaidoyer pour l’effectivité de l’assainissement dans les sites d’accueil des personnes déplacées internes. et des latrines ont étés désinfectées à cette

Avec une quinzaine de concessions de chasse, de réserves et de parcs répartis sur plus d’un million d’hectares de superficies protégées, la région de l’Est du Burkina Faso est un important réservoir faunique et floristique. C’est un pôle touristique très important qui rapportait énormément, non seulement à la population mais à l’État. Mais ces dernières années, du fait du terrorisme, ce secteur est quasiment en berne. Dans certains campements, des gardiens ou guides touristiques ont été enlevés ou simplement abattus. Dans ce reportage, nous sommes allés à la rencontre des concessionnaires du Campement de Gobnangou – Koakrana, réduits au chômage

Du 21 au 26 juillet 2020, le projet « Jeunes Ambassadeurs » a organisé une semaine d'activités dans la région de l'Est. Ladite semaine a été baptisée « semaine spéciale Jeunes Ambassadeurs ». Plusieurs localités, des moins accessibles compte tenu de l’insécurité, aux plus accessibles ont été sillonnées, souvent avec la grande peur au ventre. De Matiakoali en passant par Tanwalbougou, Bilanga, Piéla, Bogandé, Diapangou, ce fut une belle odyssée. Ce carnet de voyage est un récit qui retrace certaines réalités de l’Est, la plus grande région du Burkina Faso, tenaillée par l’insécurité et où le désespoir de la jeunesse

Depuis quelques années, le Centre National de Presse Norbert-Zongo organise "le club de la presse", une émission de débat sur un thème d'actualité. L'innovation majeure cette année est l'institution depuis 1er Août 2020 d'un club de presse physique où les journalistes ont eu l'occasion d'échanger à bâton rompu avec l'invité du jour. Il s'est agi pour le président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Newton Hamed Barry, de faire l'état des lieux et des perspectives des Élections couplées 2020. Le 22 novembre 2020 maintenu C'est la date retenue pour l'élection présidentielle et elle devra se tenir conformément à l'organigramme

Mariam TASSEMBEDO et son cousin Madi font partie des déplacés qu'accueille la ville de Kaya. Depuis que leur village a subi des attaques, ils ont déserté la zone et ne fréquentent plus l'école. Mariam fait du commerce ambulant dans la ville de Kaya. Lorsqu'elle gagne un peu d'argent, elle arrive à s'acheter quelques vêtements, et à aider ses parents. Madi regrette de ne pas poursuivre les cours. Ils souhaitent par-dessus tout le retour de la stabilité, car la précarité et les préjugés à leur endroit sont difficilement soutenables. .......................................................................................... Ce reportage est réalisé par Aristide OUANGRE, avec le soutien de

Dans la périphérie de Bobo-Dioulasso, au Burkina Faso, une clinique d’accouchement s’illustre par sa proximité avec les populations, surtout les jeunes filles. Il s’agit de la clinique Wolobougou en langue Dioula, qui signifie « le lieu de naissance » ou « la case de naissance ». Sa fondatrice n’est personne d’autre que Mme Honorine SOMA, sage-femme, activiste-féministe. Droit Libre TV a séjourné Farakoba, dans la clinique Wolobougou auprès de Mme Honorine SOMA, et vous livre ce reportage exclusif.