Pharmacopée traditionnelle : Une alternative pour réussir là où la médecine moderne a échoué
Autrefois secrétaire de direction , Adja Kadie SOME a décidé de se réinvestir après sa retraite dans la pharmacopée traditionnelle, un héritage qu’elle détient pour répondre aux nombreuses sollicitations. Dans un environnement de maladies assez complexes et de manque de moyens financiers, vu les nombreuses sollicitations de la médecine traditionnelle là où la médecine moderne a échoué, notre tradipraticienne tente de vulgariser sa production pharmaceutique en vu de balayer les quelques doutes qui y subsistent. Bien que certains médecins modernes émettent une certaine résistance à la médecine traditionnelle, heureux sont les malades qui on croisé la tradipraticienne sur leur chemin.
Lire la suiteDes villes sénégalaises menacées par l’érosion côtière
Au Sénégal l’avancée de la mer dicte sa loi aux habitants de Rufisque et Saint Louis, deux villes ayant marqué l’histoire de ce pays. Dans ces localités, plusieurs maisons ont fini dans les eaux, effaçant le souvenir de plusieurs générations. Aujourd’hui ces habitants veulent être relogés.
Lire la suiteLe putsch, c’est du temps perdu, je le reconnais …
« Il faut aller vers la recherche de la paix et de la stabilité et je pense que nous allons y aller. (…) Le putsch, c’est du temps perdu, je le reconnais, des moyens perdus, je le reconnais, c’est des vies humaines de perdues, je le reconnais. » Général Gilbert Dienderé en septembre 2015 après l’échec de son coup d’Etat
Lire la suiteJournées scientifiques sur l’enfance : Appel à contributions des organisateurs
L’Institut supérieur des sciences et de la population(ISSP) en collaboration avec l’UNICEF, organisera du 14 au 15 décembre 2017 au Burkina Faso les journées scientifiques sur l’enfance. Lesdites journées ont été déjà tenues du 6 au 8 novembre 2016 sur le thème : «Contribution de la recherche à la promotion des droits de l’enfant au Burkina Faso : Bilan et perspectives». Pour la tenue de celles du 14 au 15, les organisateurs ont lancé un appel à contributions. Nous vous proposons le contenu de leur message parvenu à notre rédaction. APPEL A CONTRIBUTIONS Journées de partage de bonnes pratiques et
Lire la suiteFILEP 2017 : fin du colloque international sur la question des médias et du terrorisme
Durant quatre jours, du 8 au 10 novembre, journalistes, représentants d’organisations de défense des droits humains, spécialistes des questions sécuritaires, personnes ressources du monde des médias et chercheurs venus d’ici et d’ailleurs, se sont rencontrés au Conseil burkinabè des chargeurs (CBC) à Ouagadougou pour réfléchir sur la problématique du rôle et de la responsabilité des médias en matière de défis sécuritaires en Afrique. Quel peut-être le rôle des médias dans la lutte contre le terrorisme ? Grâce à leur audience, les médias parviennent à sensibiliser les populations de façon efficace. Cette sensibilisation vise deux objectifs : il s’agit d’une part
Lire la suiteVindicte populaire : « L’article 320 », une atteinte aux droits humains
La vindicte populaire, bien qu’étant condamnée par la loi, a la peau dure au Mali. Un phénomène persistant, du fait de la rupture de confiance entre les justiciables et les justiciers. Nous vous invitons à découvrir les contours de cette règle dite de « l’article 320 » et ses conséquences souvent désastreuses. — - Ce reportage a été réalisé par Mohamed WAGUE, l’un des apprenants du projet « Vac en Droit ». Cette initiative de Ciné Droit Libre Bamako a consisté à former pendant un mois, sept (07) étudiants en techniques du Journalisme Reportage d’Images, dans l’optique de faire des reportages
Lire la suiteEnquête sur le Mali, un Etat qui a perdu toutes ses dents
L’Etat malien n’est plus seulement faible, il se trouve littéralement à terre. Tel est le malheureux constat qui se dégage d’une longue série de faits que je rappelle à votre bon souvenir. Le nord et le centre hors de contrôle En 2014, suite à la visite mouvementée du Premier ministre Moussa Mara et à la guerre qui s’ensuit, l’Etat malien perd à Kidal la présence symbolique de ses forces armées et de son gouverneur. Le gouvernement ne contrôle plus, depuis, qu’une partie du nord du pays. Le reste étant occupé par des factions rebelles et des groupes terroristes qui y
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