Masbe NdengarInsécurité au Burkina : Les Rugga pris en étau entre les FDS et les terroristes
https://www.youtube.com/watch?v=V2YYlkYwEzI Formellement installé au Burkina depuis près d'une vingtaine d'années, le Rugga est une association d’éleveurs perpétuant une tradition ancestrale qui consiste à œuvrer pour le bien-être et la sécurité des éleveurs ainsi que du bétail. Leurs membres sont organisés de façon hiérarchisée et en réseau en Afrique de l'Ouest, ce qui leur vaut, de l'avis des éleveurs, leur efficacité dans la résolution des problèmes qu'ils rencontrent. Depuis l'avènement de la crise sécuritaire qui secoue le Burkina Faso et la sous-région, les Rugga sont pris en étau entre les Forces de défense et de sécurité (FDS) et les terroristes. De
Lire la suiteInscriptions budgétaires : Promesses électorales et réalités du terrain !
S’il existe un moyen de convaincre les populations, notamment en période électorale ou suivant un but politique, c’est bien le discours. Bien souvent, on constate un décalage entre les promesses des hommes politiques et leur traduction en inscriptions budgétaires. En effet, même les promesses qui suscitent, souvent, le plus d’espoir ne sont pas toujours suivies d’application en matière budgétaire. Cela peut être le fait de plusieurs facteurs : démagogie, difficultés de mobilisation des ressources, réalités dictées par les partenaires techniques et financiers, etc. cela est illustré dans l’image par un budget scellé, qui indique que bien souvent les budgets alloués aux
Lire la suiteBurkina : Plus de 400 milliards de déficit budgétaire !
C’est la situation des dépenses qui sont plus élevées que les recettes de l’année. En général, dans tous les budgets, le constat demeure le même : la mobilisation des ressources pèse toujours beaucoup moins par rapport aux dépenses qui sont ou doivent être effectuées. Au Burkina Faso, le déficit budgétaire s’élève à 540,8 milliards en 2021 contre 474,9 milliards en 2020. C’est la résultante de la loi de finance adoptée en octobre 2020 par les parlementaires Burkinabè pour l’exercice 2021 qui établit 2110,9 milliards en recettes contre 2651,7 milliards en dépenses. En attendant, un projet de loi de finance rectificative a été
Lire la suiteFestival alimenterre : Un pari réussi !
https://www.youtube.com/watch?v=sOCP21AnRBw La toute première édition du festival alimenterre s’est déroulé du 25 au 27 mars 2021 à Ouagadougou avec diverses activités. Ce festival, premier du genre, qui a convoqué sur le plateau du débat des sujets sensibles comme celui du foncier, la transhumance, l’espace agricole est bien apprécié par le public. Tous nourrissent l’espoir de voir se tenir d’autres éditions.
Lire la suiteTraumatisés du terrorisme : Quelle prise en charge psychologique ?
https://www.youtube.com/watch?v=oJpksIo2qY4 Depuis quelques années le Burkina Faso fait face à une crise sécuritaire. De nombreuses attaques terroristes ont fait plusieurs victimes. Si certains ont eu la vie sauve, il n’en demeure pas moins qu’ils soient affectés. Nous avons décidé de rencontrer ces derniers. Pour ce faire, nous avons mis le cap à Leoura, un village situé à une vingtaine de kilomètres de Bogandé, dans la Gnagna, Région de l'Est. Ici vit Sidiki dont une dizaine de ses amis ont été assassinés de la manière la plus atroce lors d’une attaque à Diabatou où il était commerçant. Il a participé à
Lire la suite1re édition du festival alimenterre : Conflits entre agriculteurs et éleveurs au centre du débat
https://www.youtube.com/watch?v=ABEbgxvw5Mg Le festival alimenterre aborde principalement les questions relatives à l’agriculture et à l’environnement, mais ce n’est pas pour autant que des thèmes touchant d’autres secteurs ont été occultés. C’est ainsi que le conflit agriculteurs et éleveur s’est invité au débat sous la thématique « agriculteurs et éleveurs, la nécessaire cohabitation ». De ces échanges, il est ressortir qu’agriculteur et éleveurs sont condamnés à vivre ensemble. Mais pour réussir ce pari, il faut de la sensibilisation. Après l’Institut Français où il était question du conflit entre agriculteurs et éleveurs, à l’espace culturel Gambidi, c’est l’agroécologie et la question de la
Lire la suiteFestival alimenterre : Un tremplin pour la promotion de l’agroécologie
https://www.youtube.com/watch?v=q8Au4GDcY8Y La première édition du festival aliementerre a débuté le 25 mars 2021 sous le thème : « protection de l’environnement et promotion de l’agriculture familiale et de l’agroécologie ». Trois jours durant, les questions sur l’agroécologie, la promotion de l’agriculture familiale, la souveraineté alimentaire, la protection de l’environnement … ont été au centre des débats. Le festival alimenterre, c’est également une tribune de promotion des produits locaux aussi variés que diversifiés. Organisé par Semfilms à travers le festival Ciné Droit Libre et SOS FAIM, ce festival qui se veut de dénoncer le désordre alimentaire est parrainé par le Prix
Lire la suiteL’insécurité à l’Est du Burkina: La résilience par la foi
https://www.youtube.com/watch?v=9HWl5hHucJs Des attaques terroristes perpétrées contre des leaders religieux dans la province de la Komondjari à, l’Est du Burkina, ont occasionné la fermeture de nombreuses églises et mosquées. La pratique religieuse dans certaines zones est devenue risquée et le contact avec leurs leaders rompus. Une telle situation installe la méfiance et affecte la cohésion entre religieux mais à Gayéri, ces derniers se soutiennent mutuellement au nom de la foi en Dieu.
Lire la suiteMaraichéculture au Burkina : Les pesticides dangereux dans nos assiettes !
https://www.youtube.com/watch?v=PfK-nrev-D4 Le domaine de la maraichéculture au Bukina Faso est confronté depuis de nombreuses années à l'utilisation quasi-systématique d'engrais et de pesticides. Alors que cela nuit à la santé des producteurs et des consommateurs. Les premiers estiment n'avoir pas réellement le choix. Le fumier local est pour eux une denrée de plus en rare...ils ne connaissent à peine les pesticides bios. Les fruits et légumes représentent un danger permanent d'autant plus que beaucoup sont consommés frais, souvent sans prendre le soin de bien nettoyer. Des spécialistes mettent pourtant les maraichers et les consommateurs en garde contre les dangers auxquels ils
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