Burkina Faso : Le nouveau code pénal pourrait conduire jusqu’à dix ans de prison pour diffusion d’information sur les opérations militaires

Le projet de loi portant modification du code pénal contient des dispositions qui restreignent les libertés publiques en particulier les libertés d’expression et de presse et le droit à l’information au Burkina Faso, ont déclaré aujourd’hui Amnesty International, le Centre d’information et de formation en matière de droits humains en Afrique (CIFDHA), le Centre pour la qualité du droit et la justice (CQDJ) et l’Association des bloggeurs du Burkina (ABB). Alors que le parlement examine demain le projet de loi, les organisations relèvent le risque de criminalisation de l’activité des défenseurs des droits humains, des journalistes, des acteurs des réseaux
Lire la suiteAboubacar Kina, grand imam de Fada : « Enseignons le bien et rejetons le mal »
https://youtu.be/-rmEeK6k1ZE L’insécurité de ces dernières années à l’Est du Burkina a porté un coup dur au vivre-ensemble. Des voix se lèvent pour appeler à la tolérance et au pardon. Ainsi, les religieux, les coutumiers, les artistes … sont mobilisés pour promouvoir la paix, la cohésion sociale, l’amour entre les populations. De la Kompienga en passant par la Tapoa, la Komandjari, la Gnagna, etc., les populations sont invitées à cultiver l’amour, la paix, la tolérance et à promouvoir le vivre-ensemble. Le grand imam, Aboubacar Kina, dans ce message, appelle la population à se démarquer du mal
Lire la suiteBurkina : Ouagadougou accueille des déplacés internes !
https://youtu.be/XR_t-pYMbzQ Fuyant les attaques terroristes au Sahel, de nombreuses familles, de plusieurs villages, ont trouvé refuge à Ouagadougou. Dans leur fuite, elles ont juste eu le temps de prendre avec elles quelques objets. Après plusieurs jours de route, elles sont arrivées à Ouagadougou et logent dans des espaces vides, dans des écoles et des lieux de cultes. Composés essentiellement de femmes et d’enfants, ces familles qui ont fui les tueries vivent des situations difficiles. L’inquiétude et l’angoisse animent ces familles, qui, depuis lors, n’ont toujours pas de nouvelles de leurs proches. Droit Livre TV est allée à leur rencontre.
Lire la suiteExamens 2019 et insécurité : comment font ces scolaires déplacés de l’Est du Burkina ?
https://youtu.be/YJ3KD3JFFII A Fada N Gourma ou la cité de Yendabri, chef-lieu de la province du Gourma, dans la région de l’Est du Burkina, le secteur de l’éducation comme tous les autres secteurs d’activités est touché par les multiples attaques terroristes que connait le pays depuis 2016. Le récent rapport du ministère de l’éducation du Burkina fait état de plus de 1.000 écoles et établissements post- primaire et secondaire fermés avec plus de 300.000 élèves affectés et environs 10.000 enseignants hors des classes en ce milieu d’année 2019. La ville de Fada a alors enregistré dans ces différents établissements publics et
Lire la suiteAu Burkina Faso, les personnes albinos disent non au cancer de la peau

La journée internationale de sensibilisation à l’albinisme est célébrée ce 13 juin 2019. Au Burkina Faso, pour cette cinquième édition, l’Association Burkinabè pour l’Inclusion des Personnes Albinos (ABIPA) a convié la presse pour le lancement de ses activités. Ce 13 juin est une journée importante pour les albinos du monde. « Toujours aussi fort » est le thème retenu cette année par l’Organisation des Nations Unies (ONU). A travers ce thème, l’ONU veut de reconnaître, célébrer et encourager la force des personnes vivant avec l’albinisme. Le président de l’ABIPA, Fabéré SANON est dans le même ordre d’idée : les personnes albinos sont à
Lire la suiteFemmes artistes au Burkina : Réussir par son art et non par son corps
https://youtu.be/amtkRcKmGds Depuis le début des années 2000, le Burkina Faso a connu une floraison d’artistes féminins. Des artistes comme Sissao ou Beky avaient annoncé la présence accrue des femmes dans le showbiz. Aujourd’hui, elles sont nombreuses à s’intéresser à la musique. Mais, celles qui réussissent à performer et à tenir dans "l’arène" du showbiz doivent affronter et surmonter des difficultés liées à leur statut de femme : propositions indécentes, harcèlement, vie conjugale, préjugés etc. Pour comprendre comment font les femmes qui réussissent dans ce milieu dominé par les hommes, nous avons rencontré Malika la slameuse et la présidente des Femmes Artistes
Lire la suiteMaire de Fada : « Ayons une attitude de paix et cultivons le vivre-ensemble »
https://youtu.be/vokpzL475iM L’insécurité de ces dernières années à l’Est du Burkina a porté un coup dur au vivre-ensemble. Des voix se lèvent pour appeler à la tolérance et au pardon. Ainsi, les religieux, les coutumiers, les artistes … sont mobilisés pour promouvoir la paix, la cohésion sociale, l’amour entre les populations. De la Kompienga en passant par la Tapoa, la Komandjari, la Gnagna, etc., les populations sont invitées à cultiver l’amour, la paix, la tolérance et à promouvoir le vivre-ensemble. Dans ce message le maire de Fada, Jean-Claude Louani à cœur ouvert, exhorte la population à « cultiver le vivre-ensemble ».
Lire la suitePlus de 25 millions de vues sur YouTube pour Droit Libre TV !

Plus de 25 millions (25 020 129) de vue ! sacré score ! sans vouloir verser dans l’autosatisfaction, ce chiffre témoigne du chemin parcouru depuis maintenant 8 ans. Créée en novembre 2011, Droit Libre TV est la première webtélé consacrée à la défense, à la promotion des droits humains et de la liberté d’expression en Afrique. Elle aborde les sujets de proximité, donne la parole à ceux et celles qui en sont privés. Depuis 8 ans donc, Droit Libre TV alimente les débats autour des sujets qui fâchent dans les 7 pays francophones membres de l’UEMOA, en plus de la Guinée Conakry. Basée au
Lire la suiteBurkina Faso : Vers un jour historique pour les droits sexuels et reproductifs

Le 1er juin promet d’être un jour historique pour les droits sexuels et reproductifs au Burkina Faso. En effet, l’État s’est engagé à fournir, à compter de cette date, des services de planning familial gratuits, notamment des contraceptifs et des consultations médicales. Il s’agit d’une décision longtemps attendue mais extrêmement positive qu’Amnesty International appelle de ses vœux depuis un certain temps. Néanmoins, pour qu’elle porte ses fruits et contribue véritablement à accroître la protection des droits des femmes et des filles, il faudra qu’elle soit soutenue par une campagne de sensibilisation nationale, associée à un développement des établissements de santé.
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