Entrepreneuriat : Ramatou et Mariam, deux étudiantes tisseuses !
https://www.youtube.com/watch?v=L3yx5AsOi3Y Étudiantes à l'université de Ouahigouya, Ramatou GUINDO et Mariam OUEDRAOGO se sont lancés dans le tissage. Dans leur activité, elles confectionnent des ensembles (jupes - tricots – couronne, etc.) pour les enfants, des écharpes pour dames et hommes, des bonnets... Elles sont confiantes de l'importance et de l'impact de cette activité sur elle et invitent leurs camarades à emboiter leur pas. Pour vos différents besoins, n’hésitez à faire recours à elles : elles ont des mains expertes. ………… Ce reportage MOJO a été réalisé par Gildas W. Salo dans le cadre du consortium Semfilms et Balai Citoyen. Gildas W. Salo
Lire la suiteOuahigouya : Fatoumata, diplômée – vendeuse de bouillie !
https://www.youtube.com/watch?v=CJLWXidybzk Jeune et ambitieuse, Fatoumata Sawadogo outre ses études, fait de la vente de la bouillie son activité génératrice de revenus afin de subvenir à ses besoins. Elle a obtenu sa licence en Ressources Humaines en 2019 et consciente qu'il ne faut pas seulement compter sur les concours de l'État dont l'admission est incertaine, elle se bat et invite tous ceux qui comme elle, qui ont fini (ou pas) leurs études de se lancer dans l’entrepreneuriat car il n'y a pas de sot métier. …………… Ce reportage MOJO a été réalisé par Filanga Azèta Badini dans le cadre du consortium
Lire la suiteOuahigouya : A la découverte des jeunes diplômés béninois vendeurs ambulants de livres
https://www.youtube.com/watch?v=uH2J13uisZ4 La vente ambulante de livres est un moyen de survie pour ces jeunes diplômés béninois. C’est depuis quatre années qu’ils exercent ce commerce à Ouahigouya. Des livres qui sont bien aimés par des lecteurs. Cette activité leur permet d’éviter les dures réalités du chômage, car pour eux, il n’existe pas de sot métier. Leurs efforts sont également bien appréciés par les populations. Face à l’insécurité, ils ont du mal à mener normalement leur activité. A l’instar des autres, ils souhaitent également le retour à la normale Ce reportage a été réalisé grâce aux soutiens de l’Organisation Internationale de la
Lire la suiteMariam, l’amazone de l’électricité à Ouahigouya
https://www.youtube.com/watch?v=rzSoNxR1MMs Mariam est une amoureuse du métier de l’électricité. Elle est en stage d'électricité actuellement à Ouahigouya. C'est un métier qu'elle beaucoup aime et ce, depuis le lycée. Pour plus de professionnalisme, elle fut inscrite dans une école technique à Loumbila en 2019 où elle obtient son diplôme en électricité. Aujourd'hui son rêve s'accomplit. Nous avons rencontré Mariam très occupée dans son atelier. Elle se raconte. ........... Ce reportage MOJO a été réalisé par Inoussa Ouédraogo dans le cadre du consortium Semfilms et Balai Citoyen. Inoussa Ouédraogo est l’un des 15 jeunes qui ont été formés dans la région du
Lire la suiteEntrepreneuriat : Dembelé, infatigable tisserand
https://www.youtube.com/watch?v=rq88VXhyilU Domicilié au secteur 13 de Ouahigouya, Dembelé, fait du tissage sa passion. Un métier qu'il avait appris depuis son enfance avec ses grands-parents, lui permet de fabriquer de très beaux pagnes traditionnels. Souvent avec son cousin Arnaud, artiste musicien, la détente est rendue possible. Par ailleurs, il nourrit sa famille à travers les revenus de son métier. Rencontre avec un infatigable tisserand qui invite les jeunes à s’adonner à ce métier qui d’après lui nourrit son homme. ……. Ce reportage MOJO a été réalisé par Inoussa Belem dans le cadre du consortium Semfilms et Balai Citoyen. Inoussa Belem est
Lire la suite« Mon handicap visuel n’est pas frein à mon épanouissement »
https://www.youtube.com/watch?v=9FA1Rh8ys4k Le handicap n’est pas une fatalité, a-t-on coutume de le dire. Harouna et Pauline partagent cet avis. Ils refusent la mendicité comme c’est le cas souvent de certaines personnes en situation de handicap. Ils ont décidé d’apprendre un métier et l’exercé normalement. Ils tissent les chaises et autres objets qui leur permettent de subvenir à leurs besoins. Ils vivent à la sueur de leur front et dignement. Dynamiques et passionnés par leur métiers, Harouna et Pauline ne manque de prodiguer des conseils aux autres personnes vivant avec le handicap. Reportage. ………. Ce reportage MOJO a été réalisé par Filanga
Lire la suiteBurkina Faso : Dans l’univers des travailleurs licenciés
https://youtu.be/5Ls25VecvGU Dans les années 90, avec l’avènement des PAS (Programme d’Ajustement Structurel), de nombreux travailleurs burkinabè ont perdu leur emploi. Plusieurs entreprises furent fermées, des milliers de travailleurs licenciés. Aussi, des familles se sont disloquées et des enfants ont été déscolarisés. A partir des années 2000 et jusqu’à présent, un phénomène a pris de l’ampleur : la sous-traitance et l’expansion des contrats à durée déterminée. La conséquence immédiate, le code du travail n’est pas respecté, les agents sont sous-payés. Avec plus de 4000 plaintes pour licenciements de janvier à octobre 2019, les travailleurs sont contraints de s’organiser. Ils passent notamment par
Lire la suiteÉlèves cireurs itinérants : Au nom de nos études
https://youtu.be/10PzZNlnAFQ Plusieurs jeunes s’adonnent au métier de cireur. Dans la plupart des villes du Burkina Faso, beaucoup de ces jeunes pratiquent cette activité. C’est le cas de Abdoul Yoda, élève en classe de 4e et ses camarades, venus de Komtiéga et d’autres localités à Fada pour cirer les chaussures. Muni de leurs matériels de travail, ils sillonnent les artères de la ville de Fada à la recherche de clients. C’est grâce aux fruits de ce travail qu’ils paient leurs scolarités et fournitures scolaires. Immersion dans l’univers des petits cireurs écoliers à Fada.
Lire la suiteMon taxi-moto, ma vie
https://youtu.be/aiNaG57BYlM A Fada N’Gourma, se développe une activité peu pratiquée dans d’autres villes du Burkina. Il s’agit de conducteur de taxi-moto. Observant le chômage qui mine les jeunes de la région, Abdoul Diallo décide d’apporter sa contribution dans la lutte contre ce fléau en créant cette activité. Si les 210 conducteurs de taxi-motos de la ville de Fada s’en sortent relativement bien financièrement, c’est avec beaucoup de difficultés qu’ils exercent leur métier surtout dans ce contexte d’insécurité avec son corolaire de couvre-feu instauré dans la région de région de l’Est.
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