«Il était impossible de laisser le développement

«Il était impossible de laisser le développement d’un pays à un système capitaliste qui est sans pitié et sans sentiments. Qui allait aider les pauvres (et la majorité des gens dans nos pays sont pauvres). Qui allait les défendre ? Certainement pas le marché. Donc je ne regrette pas d’avoir essayé de construire un pays reposant sur ces principes. Il faudra réaliser que ce qui a donné un visage humain au capitalisme, ce sont les valeurs (qu’on les appelle socialistes ou non) que j’essayais de promouvoir dans mon pays ».
Julius Nyerere