Smockey : « Nous n’avons pas besoin de sang ni de massacres au Burkina Faso »
L’insécurité de ces dernières années à l’Est du Burkina a porté un coup dur au vivre-ensemble. Des voix se lèvent pour appeler à la tolérance et au pardon. Ainsi, les religieux, les coutumiers, les artistes … sont mobilisés pour promouvoir la paix, la cohésion sociale, l’amour entre les populations.
De la Kompienga en passant par la Tapoa, la Komandjari, la Gnagna, etc., les populations sont invitées à cultiver l’amour, la paix, la tolérance et à promouvoir le vivre-ensemble.
Dans cet élément, Smockey s’adresse à la jeunesse. Voici son message.